Sainte Hélène possédait une voûte lambrissée qui cachait une charpente, qui par construction, n'était pas destinée à rester apparente.
L'intérieur des caissons était de couleur bleue et parsemé d'étoiles dorées évoquant la voûte céleste.
les lambris ont été déposés en 1994 pour réfection de la toiture.
Nul ne s'en est soucié depuis.
Toutefois, pour la poursuite des travaux de restauration, "une mission de diagnostic technique et architectural " vient d'être attribuée à Madame Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des Monuments Historiques.